Définir votre cible
À qui vous adressez-vous ? Définissez votre audience en créant votre lecteur/client idéal. Il s’agit alors de l’élaboration d’une vraie carte d’identité :
- nom
- âge
- sexe
- profession
- médias suivis
- loisirs, passions, intérêts, motivations
- vocabulaire employé
- comportement et habitudes
Grâce à cette personne fictive, vous saurez à qui vous vous adresserez quand vous écrirez votre article, ce qui facilite la rédaction et produit un résultat plus pertinent. Ainsi, l’approche face au sujet, le ton, le vocabulaire employé dépendront de ce persona.
Définir ses mots-clés
En fonction du sujet de votre article, du langage utilisé par votre persona et de la concurrence (vous voudrez vous démarquer d’eux), vous pourrez établir une liste de mots-clés marque et produit à intégrer à votre contenu.
Des outils gratuits et accessibles vous faciliteront ce travail de recherche : Google Keyword Planner, Google Trends, Similarweb, AnswerThePublic… Autant de façons de découvrir les requêtes “tendance” et celles (trop) utilisées par vos concurrents.
Insérez ensuite vos mots-clés aux emplacements pertinents : titre, au moins un sous-titre, méta description, permalien, texte alternatif des images, parsemés dans le contenu de l’article.
Produire du contenu de qualité
Répondre aux besoins des internautes signifie répondre aux attentes de Google. Pratique !
Rédigez un article qui démontre vos connaissances. Faites en sorte qu’il soit original, unique et pertinent (par rapport à la requête à laquelle votre article répond).
Pour résumer la structure de votre article :
- un titre accrocheur (de 60 à 80 signes)
- une introduction efficace (d’environ 250 signes)
- un contenu captivant, qui suit un plan clair et logique, de plus de 500 caractères
- une conclusion, qui, idéalement, élargit le sujet et propose de lire ou regarder un autre contenu
Soignez vos liens internes et externes
Pour améliorer votre référencement, il est conseillé d’intégrer des liens internes vers d’autres pages de votre site (optimisant ainsi le maillage interne et apportant plus de trafic) et des liens externes vers des sites fiables qui font autorité.
Si possible, toujours dans cette même logique, prouvez la fiabilité de votre réponse grâce aux backlinks, des liens qui pointent vers votre page dans d’autres sites. Autrement dit, faire en sorte que votre page soit recommandée par d’autres sites fiables (guest-blogging, Pinterest).
Publiez régulièrement des articles dans votre blog
Un internaute qui tombe sur un site ou une page sur un réseau social en désuétude aura une image négative de l’entreprise. Il vaut mieux ne pas être présent sur toutes les plateformes et ne pas avoir de blog plutôt que d’être très irrégulier ou absent. Par exemple, poster tous les six mois, puis plusieurs fois dans la semaine, suivi d’une nouvelle absence est rédhibitoire.
Profitez-en pour alimenter vos publications sur les réseaux sociaux avec des posts qui promeuvent vos articles. Un bon point pour vos réseaux, et pour votre blog !
Dernier conseil : attention au temps de chargement de vos pages ! C’est un des critères principaux sur lesquels Google se fonde pour indexer les pages web. Cependant, les images sont un plus, voire une nécessité pour accompagner votre article et le dynamiser. Pour limiter cette durée, il vous faut optimiser la taille de vos images AVANT de les uploader à votre site. Aucune raison de les laisser à leur taille originale si vous prévoyez qu’elles s’affichent de façon réduite.
- Nom du fichier : 3 mots clés maximum – sans espace, séparés par des tirets
- Texte alternatif : décrire la photo
- Taille de l’image : adaptée et faisant moins de 200 ko (une image d’1 Mo est proscrite !). Il suffit pour cela de réduire sa résolution en pixels.
- Format de l’image : GIF, JPG (JPEG), PNG
Vous avez là toutes les cartes en main pour tenir un blog efficace. Bien qu’il ne soit pas indispensable à votre activité ou à votre site vitrine ou e-commerce, le blog est un outil marketing dont la force est substantielle.